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On apprend beaucoup de choses par l’échec qui est une source de sagesse très importante.
En principe, la somme de nos échecs desquels nous avons tiré des leçons construit notre succès.
Il est important de comprendre pourquoi on a échoué et c’est valable dans tous les secteurs d’activités.
Il est important de vous poser les questions sur les situations et les facteurs qui ont entrainé votre échec.
L’Africain ne commencera même pas une activité ou une affaire, que déjà il aura vu l’échec ! C’est terrible ça !
Au lieu de travailler sur les éléments de réussite de son business, lui il réfléchit plus sur les barrières, et là il se bloque.
Je vous dis à haute et intelligible voix, vous avez le droit d’échouer mais vous n’avez surtout pas le droit de ne pas essayer.
Beaucoup de projets et richesses meurent faute d’audace, on se voit déjà échouer sans même avoir commencé.
Sachez que plusieurs personnes peuvent échouer, ce qui n’est pas mauvais en soi, mais c’est l’incapacité de vous relever et de réussir, qui peut être considérée comme mauvaise.
En France, 25% des sociétés ne passent pas les 2 premières années, près de 50% ferment avant les 5 premières et jusqu’à 80% pour les startups (INSEE 2018).
L’Afrique a de la ressource, mais une ressource tellement sous exploitée qu’elle s’est dévalorisée faute d’offre d’opportunité d’exercice de la connaissance qui créée la véritable richesse.
Ce passage est un extrait du « l'Africain et l'Argent » de RAPHAEL SIEGHOMNOU La monetik
Édité par Les Editions Argenlivre
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