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Je peux affirmer, sans risque de me tromper, que Thomas SANKARA était la réincarnation de Jésus-Christ.
J’en ai eu la révélation, lorsque j’ai commencé à réfléchir sérieusement sur le sort de l’humanité, suite à l’avènement et à l’expansion rapide de la maladie à Coronavirus.
Je me suis alors remémoré les passages bibliques suivants qui s’imposaient quelques fois à mon esprit :
« Prenez garde à vous-mêmes, de crainte que vos cœurs ne s'appesantissent par les excès du manger et du boire, et par les soucis de la vie, et que ce jour ne vienne sur vous à l'improviste ; car il viendra comme un filet sur tous ceux qui habitent sur la face de toute la terre ».
Le coronavirus devenait le filet qui avait conduit à mettre le monde entier en cage. Je l’ai compris quand tout le monde devait vivre le confinement.
Aucun autre fléau n’avait pu accomplir le jeu de filet qui viendra sur tous ceux qui habitent la surface de la terre tel que prédit dans la bible.
« (…) Je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre » Apocalypse 3 :10 ; oui, je comparais encore le coronavirus à l’heure de la tentation qui allait venir sur le monde entier pour éprouver les habitants de la terre.
« (…) C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas ». Je me suis demandé quels étaient les signes de la venue du Fils de l’homme. Alors, je me suis dit : Ça y est ! L’heure de la tentation est là ; le monde entier est pris dans le filet ; la fin est donc là aussi ! Mais quand viendra donc le fils de l’homme ?
Au même instant, c’est l’image de SANKARA qui m’a été présentée et il m’a été dit intérieurement : « C’est lui le messie qui devait venir ».
Puis, je me suis souvenu de ce qu’avait dit Jésus à propos d’Élie et de Jean-Baptiste : « C’est lui l’Élie qui devait venir ». Je suis alors rentrée dans une profonde méditation.
Je ne dis pas que toute la révélation est venue le même jour, car j’ai moi-même été d’abord ébranlée. Il m’a fallu ensuite rassembler pendant des jours et des semaines, les pièces du puzzle reçues bien avant ce jour pour en avoir une histoire cohérente.
Je l’ai plus tard soumis en méditation, à certains de mes amis dans la spiritualité. J’ai initié une rencontre pour l’occasion et nous en avons débattu. Beaucoup sont restés bouche bée lors de cette convocation solennelle, non pas parce qu’ils n’ont pas voulu contester, mais parce qu’ils n’avaient rien à y opposer pendant toute la durée de la rencontre.
Mieux, certains avaient des exemples de la vie du guide SANKARA qui illustraient et qui consolidaient la révélation.
Mais, jamais les choses ne m’étaient paru de façon très claire et nette. J’en étais de plus en plus persuadée, jour après jour, heure après heure, de sorte que je n’arrivais plus à penser à autre chose.
Les passages bibliques pleuvaient dans ma tête.
C’est ainsi que celui-là aussi s’est imposé à mon esprit : « Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. ».
Alors, si SANKARA était le Fils de l’homme, combien de personnes le savaient ? Qui d’autre avait cette information ? Et si je l’avais en ma possession, ne devais-je pas en parler autour de moi pour commencer ? Je n’avais donc plus de temps à perdre.
La fin se signalait déjà. La bonne nouvelle consistait à VIVRE DANS L’INTÉGRITÉ, car c’est ce que SANKARA a souhaité pour les voltaïques et pour les habitants du monde entier.
La pression se faisait chaque jour en moi et la voix intérieure de mon cœur me le rappelait constamment. J’avais commencé à perdre le sommeil.
L’appel du guide SANKARA à devenir tous des « Burkinabè », c’est-à-dire « des Hommes intègres », correspondait à l’appel pour le salut.
À l’assemblée générale des Nations Unies, il avait pris la parole pour les opprimés du monde entier face à ceux qui allaient être ses bourreaux. Son message était universel.
SANKARA était donc « le messie ». La Religion avait totalement échoué en prêchant un Jésus blanc uniquement et non un Jésus universel.
Je devais passer à l’acte. J’avais réussi à en parler à l’occasion de quelques émissions à la télévision et à la radio et sur les réseaux sociaux.
Beaucoup de téléspectateurs et d’auditeurs avaient adhéré à ma présentation du messie et avaient demandé que cela soit consigné dans un livre.
C’est ainsi qu’est paru le livre « SANKARA, le messie attendu ! » écrit de façon précipitée, je l’avoue. Mais le message avait rencontré l’assentiment de beaucoup de personnes.
Ce passage est un extrait du livre «Le retour des révolutionnaires » de Justine Marie Philippe OUEDRAOGO.
Un livre Édité par @Les Editions Argenlivre
Disponible sur Argenlivre.com
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