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Photo du rédacteurNelly

La Clé D’un Bon Investissement

Qu’est-ce qui fait la liberté des maîtres dans le monde moderne ? Ce sont leurs investissements. Que l’investissement soit un capital financier, une usine de transformation, un commerce ou des biens immobiliers, c’est lui qui fait le maître. Sans investissement, un esclave finira tôt ou tard par implorer le maître pour rentrer de son propre gré dans l’ancien système. Et pour accomplir le rêve de Kunta, vous devez impérativement apprendre à investir votre argent de manière responsable dans des initiatives rentables.

Dans le monde traditionnel de nos ancêtres libres, apprendre à investir constituait la grande partie de l’enseignement donné aux jeunes. L’investissement consistait à cultiver des champs ou à élever des animaux. Certes, il n’atteignait pas encore un niveau aussi évolué, mais c’était la même logique. Voici ce que vous devez savoir si vous n’avez jamais vécu dans cette Afrique traditionnelle comme moi. J’ai grandi dans un village et voici comment nous étions initiés au travail.

À partir de cinq ans, un enfant devait accompagner ses parents au champ. Même s’il ne transportait rien du tout ou ne faisait pas de travail, il restait assis à l’ombre pendant que les adultes travaillaient. Je ne comprenais pas pourquoi. Mais en grandissant, j’ai compris que c’était afin que l’enfant voie comment les adultes produisent leur nourriture et gagnent leur argent. C’était une programmation au travail.

A partir d’un certain âge, vous commencez à faire des tout petits travaux. A chaque saison, on vous fait faire un peu plus. A l’âge de quatorze ans, au village, un jeune sait tout sur l’investissement. Il sait à quelle période on choisit la forêt pour la prochaine culture. Il sait quand déboiser et récolter. Investir, c’est cela. Il faut commencer par maîtriser les principes et les techniques pour multiplier son capital. Pour nos ancêtres agriculteurs, le principe de la multiplication était celui de l’ensemencement et de la récolte. En semant correctement un grain de maïs, on pouvait en récolter des milliers.

L’école moderne nous a formés de façon très handicapante sur les questions liées à l’investissement. Je vois cela en ville avec nos enfants ; de l’enfance à l’âge de vingt-cinq ou trente ans, la jeunesse ne contribue en rien à la production familiale. Elle ne fait que jouer ou se préparer à une profession en vue d’un travail. La seule idée que les jeunes gens ont en tête, c’est d’avoir un jour un travail, c’est tout. Devenu adulte, le jeune sera formaté de telle sorte qu’il croira que réussir sa vie, c’est faire carrière dans un emploi. Il ne comprendra pas l’emploi comme une étape préparatoire à celle qui assure la liberté. L’ignorance de cette vérité fera de son travail un asservissement. Il concevra l’investissement comme un grand risque qu’il faut à tout prix éviter.

‘’Celui qui a réussi à convaincre l’esclave que l’investissement est un risque à éviter à tout prix, a réussi à le ligoter mentalement, dans une prison transgénérationnelle. L’investissement, c’est un risque qu’il faut assumer et maîtriser’’.

L’état d’esprit de Kunta (l’esclave noir) consiste à faire de son combat pour la liberté financière une question de vie ou de mort. Lorsqu’il s’agit de travailler à leur indépendance financière, certains se disent : « Bon, je vais tenter ; de toute façon, si ça ne marche pas, je me rabattrai sur mon emploi. » Ces gens-là ont le pire d’état d’esprit qui soit, ils ne peuvent qu’échouer. Voici une histoire qui peut vous aider à comprendre le genre d’état d’esprit de Kunta dont je parle.

C’est l’histoire du chien et du chat que j’ai lue dans un livre de Kopmeyer. Il était une fois un chien qui se vantait auprès de ses congénères d’être un grand coureur, le meilleur. Cela était pour lui un sujet d’orgueil et de fierté personnelle. Voici qu’un jour, pour prouver aux autres ses capacités extraordinaires, il se mit à courir derrière un chat pour l’attraper. Celui-ci s’en aperçut et se mit également à courir. Le chien accéléra pour rattraper le chat qui, s’apercevant du danger, courut de toutes ses forces. Après plusieurs minutes de course, le chien, à bout de souffle, abandonna la partie. Le chat s’échappa et s’enfuit. Lorsque le chien rentra auprès de ses congénères, ceux-ci se moquèrent de lui. Alors, le chien leur fit cette remarque : « Mes amis, souvenez-vous que je courais pour le plaisir de courir, mais le chat lui, courait pour sauver sa vie ! »

Toute la différence est là. Il y a, d’un côté, un état d’esprit où transparaît la frivolité du chien tel que Pluto, le personnage fictif de Walt Disney, mais il y a, d’un autre côté, un état d’esprit où ressort la question de vie ou de mort manifestée par l’attitude du chat. Quand vous commencez à vous mettre en route vers votre indépendance financière, engagez-vous comme s’il s’agissait de « sauver votre vie ». Avec cet état d’esprit, vous ne pouvez que gagner.

J’aime bien partager mes exemples pratiques car cela peut vous aider. Au début, je vous ai parlé d’un emploi que j’ai occupé puis de ma démission pour me lancer dans mon business. Cette décision était un grand risque. Car j’avais un contrat à durée indéterminée et un salaire élevé pour l’Afrique d’environ trois mille cinq cents dollars. Ma décision avait suscité de l’inquiétude, tant chez notre directeur des ressources humaines que chez les parents qui voyaient en cela un acte insensé.

J’étais donc conscient du niveau de risque que j’avais pris j’adoptai l’état d’esprit de vie ou de mort de Kunta. Je me dis : « Ricardo, tu as pris un grand risque en démissionnant de cet emploi et tu as trente et un ans. Si, en te consacrant à ton business, tu échoues, tu vas regretter ton acte toute ta vie. C’est pour toi une question de vie ou de mort ! » J’avais donc décidé de consacrer à mon business autant de temps, d’efforts et de concentration que j’en consacrais à mon emploi. Dès six heures, j’étais à ma table de travail pour réfléchir, étudier et dresser les plans. Toute la journée, j’étais absorbé par mes activités, travaillant comme si j’étais employé par un patron.

Dans les derniers mois de la même année, mon business me rapportait déjà environ trente mille dollars par mois, ce qui représentait mon salaire annuel. Si vous voulez savoir quel était mon secret, sachez que c’était mon état d’esprit. Car, lorsque nous sommes mobilisés au plus haut point, notre subconscient entre en action. Il se sent obligé de dresser les plans pour vous conduire au succès. Sachez que votre subconscient ne peut pas se mobiliser si, dans votre tête, il y a une voie de sortie.

Tiré du livre « Je Suis Kunta » de Ricardo KANIAMA,

Pour obtenir le livre, laisser un message Whatsapp au 0033 7 84 75 79 81

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Note de Valère : Ma personne, tant que tu ne t’engages pas à 200% pour devenir libre financièrement, tu n’arriveras à rien, tes résultats seront toujours médiocres, et à 50 ans lorsque tu te rendras compte du fait que tu n’as obtenu aucun résultat conséquent, tu commenceras à parler de sorcellerie. Pour que tu comprennes mieux, je vais te parler de l’expérience que je suis en train de vivre en ce moment même.

Il y’a un peu plus de 3 ans, lorsque j’ai démarré avec ces séances de partages sur les livres, je me disais « Ok Valère, tu vas juste essayer un peu et tu verras ce que ça va donner. De toute façon tu es étudiant en médecine donc ton avenir est assuré, pas la peine de te prendre la tête, si ce que tu fais sur internet ne fonctionne pas, et bien tu as de quoi te retourner ». Avec une telle pensée dans ma tête, je ne me donnais qu’à 25%, bilan des courses, après avoir passé plus de 2 ans sur les réseaux, les résultats que j’espérais avoir ne venaient pas et j’étais même très loin du compte. Ceci à tel point que lorsque je voyais les autres qui perçaient sur les réseaux, au lieu de faire comme eux, je me contentais de penser qu’il y’avait un truc pas net chez eux.

Un jour, je suis tombé sur un bouquin (encore un livre, crois moi, juste quelques mots dans un livre peuvent faire toute la différence dans ta vie), et dans ce bouquin, l’auteur disait : « Si vous souhaitez réussir dans l’agriculture, engagez-vous à 200%. Ne venez pas juste pour essayer car vous allez tout perdre ». L’auteur en question s’appelle Loic KAMWA, et le livre en question c’est : « 10 Clés Pour Réussir Dans l’Agrobusiness En Afrique ». C’est à ce moment là que j’ai compris que si je voulais vraiment avoir de l’impact, il fallait que je m’engage à fond. Et depuis que je me suis engagé comme si ma vie en dépendait, je vois les résultats. Et j’en profite pour te dire merci car sans toi, rien de tout ceci ne serait possible ma personne.

Tout ceci c’est pour te faire comprendre que, la question de l’indépendance financière si tu veux l’atteindre il va falloir que t’y engages à 200% sinon tu n’arriveras à rien. et ceci est valable dans tous les domaines de la vie. Si tu veux vraiment réussir à profiter de 30% des capacités de ton cerveau, il faut le mettre dans une position dans laquelle tu n’as pas d’autre choix que de t’en sortir. Il faut que tu considères ton but comme une question de vie ou de mort.


Sur ce, je te donne rdv demain matin pour une séance de partage encore plus enrichissante ma personne. Si la publication t’aura apporté un plus, like, mets en commentaire « #jesuiskunta », partage, identifie des amis et abonne-toi pour ne rien manquer des autres publications et pour me faire comprendre que je peux continuer ou non dans la même lancée. On est ensemble comme en décembre et on se ressemble.

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