Stop assez de mensonge sur le VIH SIDA - Claudel NOUBISSIE
Après avoir consulté cette liste qui présente les conditions médicales pouvant entrainer des « faux positifs » aux tests dits « de SIDA » (ÉLISA et WESTERN BLOT) et compte tenu du fait que ces tests ne détectent jamais le virus, mais plutôt les anticorps dirigés contre ce virus, il va de soi que lorsque l’on labelle un patient « séropositif » sur la base de ces tests, la première démarche à suivre serait d’abord d’éliminer tous ces facteurs de positivité du test avant de lui coller l’étiquette SÉROPOSITIVITÉ = VIH = SIDA = MORT, avec tout le stress que cela implique, quand l’on sait qu’il s’agit d’un test pouvant être rendu positif par l’une des 66 conditions citées par Christine Johnson dans cet article. Dans le chapitre suivant, nous expliquerons pourquoi la séropositivité n’est pas un signe d’infection par le VIH.